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Besançon (25) : Le centre-ville déserté par les clients le samedi de la rentrée
Après tout il semble que le tram et les bus attirent bien des visiteurs au centre-ville de Besançon ! C'est en tout cas le constat qu'on peut faire de ce week-end de grève du réseau Ginko de transport de la ville.
Avec un mouvement social soutenu par plus de 88% des chauffeurs de bus et de tram, il était bien difficile de se rendre au centre-ville ce samedi 2 septembre 2017 sans voiture.
Les syndicats avaient particulièrement bien choisi leur jour puisque cette grève a privé les Bisontins de l'inauguration de la nouvelle ligne de bus n°3 (qui a été reportée). Mais, ce timing a aussi privé les commerces de la boucle de nombreux clients.
En effet, la veille de la rentrée scolaire, les achats sont habituellement nombreux : fournitures scolaires, sac à dos, vêtements et chaussures.
Avec un centre-ville inaccessible autrement qu'en utilisant sa voiture et les parkings payants, les clients ont préféré se rendre dans les grands centres commerciaux situés en périphérie de la ville : Chateaufarine, Chalezeule et Valentin.
Nos confrères de l'Est Républicain rapportent que le manque à gagner s'avère important pour les commerces du centre avec les déclarations de Céline Girardet, présidente de l'Union des commerçants : “il est hors de question de prendre parti par rapport aux revendications des grévistes. La grève est un droit. Mais nous constatons qu'elle est très dommageable pour le commerce, surtout celui du centre-ville. C'est un samedi noir.”
Avec un mouvement social soutenu par plus de 88% des chauffeurs de bus et de tram, il était bien difficile de se rendre au centre-ville ce samedi 2 septembre 2017 sans voiture.
Les syndicats avaient particulièrement bien choisi leur jour puisque cette grève a privé les Bisontins de l'inauguration de la nouvelle ligne de bus n°3 (qui a été reportée). Mais, ce timing a aussi privé les commerces de la boucle de nombreux clients.
En effet, la veille de la rentrée scolaire, les achats sont habituellement nombreux : fournitures scolaires, sac à dos, vêtements et chaussures.
Avec un centre-ville inaccessible autrement qu'en utilisant sa voiture et les parkings payants, les clients ont préféré se rendre dans les grands centres commerciaux situés en périphérie de la ville : Chateaufarine, Chalezeule et Valentin.
Nos confrères de l'Est Républicain rapportent que le manque à gagner s'avère important pour les commerces du centre avec les déclarations de Céline Girardet, présidente de l'Union des commerçants : “il est hors de question de prendre parti par rapport aux revendications des grévistes. La grève est un droit. Mais nous constatons qu'elle est très dommageable pour le commerce, surtout celui du centre-ville. C'est un samedi noir.”
Publié le lundi 4 septembre 2017 à 09h17