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Besançon : Etudes passables
L'an passé, le magazine L'Express classait Besançon sur le podium des villes françaises où il fait bon vivre. Soit, autant le dire, une place un brin plus flatteuse que celle attribuée dernièrement par L'étudiant.fr dans son rapport annuel des cités universitaires où il fait (plus ou moins) bon étudier.
Classée 25e et même en recul de deux places par rapport à la précédente étude, la capitale comtoise se positionne dans la moyenne basse d'un palmarès de 42 villes évaluées selon 8 critères (études, culture, logement, sorties, rayonnement international, sports, transports, emploi). Alors certes, il y a largement moyen de mieux faire, mais tout n'est cependant pas à jeter !
Clairement peu en vue dans ce classement national (hormis une encourageante 3e place en matière de logement), Besançon se montre en effet (un peu) plus à son avantage dans un classement restreint de 19 « villes moyennes ».
Quand bien même celui-ci témoigne d'une douloureuse réalité où Dijon caracole en tête, la capitale régionale s'y positionne 7e. Une place honorable qui permet de prendre la pleine mesure de ses forces et de ses faiblesses, vis-à-vis d'agglomérations comparables.
Objet d'un classement où seules les 10 meilleures "élèves" apparaissent, l'évaluation critère par critère révèle alors qu'en plus du logement, Besançon est une ville étudiante où les possibilités de se divertir et de se bourrer la gueule ne manquent pas ! Ainsi gratifiée d'une 7e place pour ses « sorties », elle obtient le même rang dans la catégorie « emploi », le 9e pour son « rayonnement international » et une fort belle 2e place pour son offre culturelle.
Pour ce qui est des études en elles-mêmes, soit le sujet de préoccupation principal, c'est en revanche une autre histoire. Evincée du top 10 sur ce critère (lié au taux de réussite en licence ou encore au nombre d'étudiants et de formations disponibles), Besançon n'est clairement pas the place to be pour qui entend s'épanouir à coup sûr dans son cursus.
Egalement à la traine du point de vue des équipements sportifs, Besançon souffrirait lourdement pour finir de son « environnement » et de ses « transports ». L'ensoleillement et les tarifs pratiqués étant notamment entrés en ligne de compte (contrairement aux travaux), on le croira volontiers !
C.R
Classée 25e et même en recul de deux places par rapport à la précédente étude, la capitale comtoise se positionne dans la moyenne basse d'un palmarès de 42 villes évaluées selon 8 critères (études, culture, logement, sorties, rayonnement international, sports, transports, emploi). Alors certes, il y a largement moyen de mieux faire, mais tout n'est cependant pas à jeter !
Clairement peu en vue dans ce classement national (hormis une encourageante 3e place en matière de logement), Besançon se montre en effet (un peu) plus à son avantage dans un classement restreint de 19 « villes moyennes ».
Quand bien même celui-ci témoigne d'une douloureuse réalité où Dijon caracole en tête, la capitale régionale s'y positionne 7e. Une place honorable qui permet de prendre la pleine mesure de ses forces et de ses faiblesses, vis-à-vis d'agglomérations comparables.
Objet d'un classement où seules les 10 meilleures "élèves" apparaissent, l'évaluation critère par critère révèle alors qu'en plus du logement, Besançon est une ville étudiante où les possibilités de se divertir et de se bourrer la gueule ne manquent pas ! Ainsi gratifiée d'une 7e place pour ses « sorties », elle obtient le même rang dans la catégorie « emploi », le 9e pour son « rayonnement international » et une fort belle 2e place pour son offre culturelle.
Pour ce qui est des études en elles-mêmes, soit le sujet de préoccupation principal, c'est en revanche une autre histoire. Evincée du top 10 sur ce critère (lié au taux de réussite en licence ou encore au nombre d'étudiants et de formations disponibles), Besançon n'est clairement pas the place to be pour qui entend s'épanouir à coup sûr dans son cursus.
Egalement à la traine du point de vue des équipements sportifs, Besançon souffrirait lourdement pour finir de son « environnement » et de ses « transports ». L'ensoleillement et les tarifs pratiqués étant notamment entrés en ligne de compte (contrairement aux travaux), on le croira volontiers !
C.R
Publié le mercredi 11 septembre 2013 à 11h46